Lemoteur de recherche de toutes les courses en France : PREMIUM+PMH. (Images publiées par France Galop et les Fédérations Régionales) Date: Hippodrome: Cheval: Etalon: Eleveur: Propriétaire: Entraineur: Jockey: 21 août 2022. Pompadour; Disc. Prix Cheval Etalon Eleveur Propriétaire Entraineur Jockey : S: Prix Daniel Bazerque: Obelami : Laverock: Helene Dumont
"Devenir propriétaire d'une écurie, clé en main", c'est ce que propose Arqana par la voix de son directeur général, Olivier Delloye. Cette agence française de vente aux enchères de chevaux de course - née en 2006 de la fusion entre l'Agence française de vente du Pur-sang et de Goffs France - a récemment mis sur sabot la structure Arqana Racing club. Celle-ci gère trois écuries qui vont être composées respectivement de six à huit chevaux des galopeurs destinés aux courses plates. Chacune peut se scinder entre 15 et 40 parts. Coût du ticket d'entrée ? Entre et euros et Arqana s'engage à ce qu'aucun propriétaire n'ait à remettre au pot durant les deux ans et demi de vie de l'écurie. "Nous avons décidé de nous lancer dans cette aventure après avoir constaté que notre clientèle française était de moins en moins active. L'objectif, c'est de relancer le demande domestique", avance Olivier Delloye. Dans sa ligne de mire non pas des professionnels aguerris mais plutôt des amateurs d'hippodromes qui n'ont jamais osé sauter le pas pour des raisons financières, ou par crainte de l'inconnu. Un statut de propriétaire-spectateur Car le projet Arqana Racing Club se veut économe, mais également pédagogique. La structure prend tout en main, de l'achat du yearling pur-sang dans sa deuxième année et âgé de 15 à 18 mois, au choix des entraîneurs, en passant par la sélections des courses sur lesquelles les coursiers sont alignés. Les futurs détenteurs de parts pourront assister aux ventes aux enchères, avoir des nouvelles de leurs cracks via Internet, se rendre aux entraînements et aux courses. Mais ils n'auront pas leur mot à dire, hormis sur le nom de leurs poulains et sur les possibilités de revente de ces derniers, si offre il y a. Frustrant sans doute mais aussi rassurant lorsque l'on est non-initié. Une manière de mettre le pied à l'étrier sans avoir la main sur le harnais. Un statut hybride de propriétaire-spectateur qui intéresserait déjà du monde. "Des anciens propriétaires, qui ont cessé de l'être pour des raisons économiques, nous ont contacté. Nous avons également eu pas mal de demandes d'informations de personnes vivant en Normandie, une région où le cheval fait partie intégrante du paysage", affirme le directeur général d'Arqana. "Rien de signé encore, mais une trentaine de personnes ont manifesté un vif intérêt." La clôture de la souscription, c'est pour fin juillet et les futurs poulains d'Arqana Racing Club devraient s'élancer de leur box pour la première fois au printemps 2014. "Une vraie culture du syndicat en Angleterre" Ce concept d'Arqana Racing Club est directement inspiré des partners ship très en vogue outre-Manche et illustré notamment par le Hightlere racing Club. "Il y a une vraie culture du syndicat en Angleterre et ce système s'est répandu dès le début des années 1990. Les allocations de courses étant en plus très faibles là -bas, les entraîneurs sont de vrais commerciaux, sans cesse dans l'obligation de démarcher de nouveaux clients s'ils veulent poursuivre leur activité", analyse Olivier Delloye. "La législation est aussi plus souple, il y a moins de lourdeurs administratives, ce qui explique que ce type de propriété ait pu se développer à grande échelle." "Les propriétaires sont la clé de voûte de notre activité" La multipropriété, les écuries de groupe, des nouveautés dans l'Hexagone ? Pas totalement. En France, ce type de "propriétarait" existe depuis de nombreuses années dans le domaine des courses hippiques, mais il pourrait connaitre un sérieux coup d'accélérateur dans les mois et années à venir. En décembre 2012, France Galop - association placée sous la tutelle du ministère de l'agriculture et qui est responsable des épreuves de galop - a amendé son code des courses. Les sociétés en participations SEP peuvent désormais bénéficier de son agrément permettant l'inscription et la participation aux différentes épreuves du calendrier hippique. Ce qui signifie concrètement que les porteurs de parts d'une écurie ne sont plus aujourd'hui limités à 10 comme il y a quelques mois, mais à l'infini. Une forme juridique qu'a d'ailleurs adopté Arqana Racing Club. "Nous avons fait évoluer notre règlement car nous encourageons tout ce qui peut aller dans le sens d'un accroissement du nombre de propriétaires. Dans notre milieu, on dit que pour que ça aille bien, il faut des partants, des parieurs et des propriétaires. Ces derniers sont la clé de voûte de notre activité", explique Henri Pouret, directeur de la réglementation des courses chez France Galop. "Le concept que nous a présenté Arqana Racing Club est une bonne manière de faire ses premiers pas dans le milieu. Il ne faut pas oublier qu'acheter un cheval de course, c'est un placement à la rentabilité incertaine. Avec ce système, les investissements et les pertes sont partagés par davantage de personnes. De plus, le fait que les gens soient propriétaires de plusieurs chevaux évitent qu'ils mettent tous leurs œufs dans le même panier" Un secteur qui s'essouffle Une modification du règlement qui pourrait donner un peu d'air à une filière qui s'essouffle depuis quelques années. Car si France Galop peut se targuer de 400 nouveaux agréments tous les ans, le volume de propriétaire n'augmente plus et peine même à se stabiliser. Entre 2010 et 2011, le nombre de propriétaires est passé de à avant de redescendre à en 2012. Rien d'alarmant non plus, la situation a déjà été bien plus préoccupante. En 2002, dans un rapport d'information sur la mission sur les jeux de hasard et d'argent en France réalisé par le sénateur François Trucy, il est notamment mentionné que "Pour ne parler que du Galop, ils les propriétaires étaient, dit-on en 1981, en 1992, en 1998 et en 2000 Français et étrangers. Le taux de leur renouvellement, qui était de 12,6 % par an en 1981, est passé à 9 % en 1994. Cette population vieillit car il existe un réel découragement qui gagne de nombreux propriétaires confrontés à une fiscalité française par trop pénalisante, et à d'autres difficultés… " La situation s'est donc bien rétablie depuis. Mais ces dernières années, l'abattement fiscal de 15%, par année de détention, applicable sur les plus-values à la revente d'un cheval de courses, a été supprimé, le relèvement à 19,6% du taux de TVA pour les chevaux de courses a été imposé par Bruxelles… et investir dans les chevaux de course n'a de toute façon jamais rien eu d'un placement de bon père de famille! De quoi inquiéter France Galop sur l'attractivité du secteur. Cet amendement, permettant au projet d'Arqana de voir le jour, a d'ailleurs été adopté en plein débat sur ce passage de la TVA de 7% à 19,6%. "Nous ne pouvons nier qu'il y a une concomitance entre les deux événements. Disons que ce n'est pas l'élément essentiel de notre réflexion, mais nous ne pouvons pas dire que ça n'en a pas fait partie", commente Henri Pouret. La multipropriété, avenir du secteur hippique ? Mais pourquoi un tel projet n'a-t-il pas vu le jour plus tôt dans notre contrée ? "Le monde du cheval français a des traditions très ancrées, et la propriété, sur le mode individuel, a longtemps été privilégiée", décortique le directeur de la réglementation des courses chez France-Galop. "Par ailleurs, nous avions déjà eu des demandes de ce type, mais ce projet là nous a paru plus structuré que les autres et nous lui avons donc donné notre feu vert." Un concept qui devrait faire des émules. Arqana a déjà des contacts avec des personnes susceptibles de dupliquer le concept. "Des entraineurs professionnels sont intéressés par un partenariat avec nous. Nous mettrions à leur disposition notre plate-forme juridique et administrative", confie Olivier Delloye. "D'autres nous appellent simplement pour quelques renseignements. On sent que les gens ont besoin de bien comprendre ce qu'on propose." Pas de crainte d'être copié ? "Non, nous avons tout intérêt à ce que le concept se démocratise. Nos clients potentiels seront plus rassurés quand il y aura davantage d'offres, nous aurons alors l'air plus crédibles", argue le directeur général d'Arqana. "Puis, il ne faut oublier que notre métier, c'est avant tout de vendre des chevaux aux enchères. Or pour cela, nous avons besoin d'un marché qui continue de se développer. Notre objectif principal avec ce projet, c'est de "fabriquer" de nouveaux propriétaires." Du côté de France Galop, on laisse entendre que des dossiers d'agréments, pour des projets similaires, auraient déjà été déposés. "Nous constatons que les demandes concernant la multipropriété et les écuries de groupe ne cessent d'augmenter d'année en année", précise Henri Pouret. Mais que l'on soit ou l'unique propriétaire d'un canasson ou d'une écurie, le problème reste le même miser sur le bon cheval. Nicolas Richaud.
Ladhésion au Syndicat National des Propriétaires de Chevaux de Courses au Galop comporte d’office son assurance responsabilité civile (reportez-vous au chapitre suivant). Cette responsabilité peut être mise en jeu par les accidents causés par le cheval tant au cours de l’entraînement que du transport, qu’au cours de la compétition. Quelques assureurs
Ou lorsque les conditions d’exonération des gains de course sont scrutées par l’administration fiscale et remises en cause. L’histoire commence bien, quel bonheur d’être propriétaire d’un ou de plusieurs chevaux, de les faire concourir, d’obtenir des gains sur des prix de course ou primes, en qualité de propriétaire. Oui mais…, ces gains sont-ils exonérés d’impôt et dans quelles conditions ? Ces gains de course sont exonérés d’impôt sur le revenu, lorsque certaines conditions, que nous allons examiner, sont respectées. Mais avant de les détailler, il est toujours intéressant de comprendre ce qui sous-tend un régime fiscal, la philosophie du régime fiscal institué. Gagner une course de cheval quand on est propriétaire du cheval, relève-t-il du hasard ? La jurisprudence sur les jeux de hasard, regarde en principe les gains perçus à l’occasion de ces jeux comme non imposables, quelles que soient la régularité de la pratique de ces jeux et l’importance des gains qu’ils procurent, que ce soit un joueur de bridge amateur, des gains à la Loterie Nationale. Le point commun de ces deux exemples, le joueur de bridge et le joueur de loto est l’aléa. Mais à partir de quel moment le contribuable est-il en mesure d’influencer le résultat, de réduire l’aléa. De la réponse à ces questions, dépendront les régimes fiscaux que nous allons traiter. Nous sommes dans le cadre de propriétaires de chevaux non entraîneurs et non éleveurs ou éleveurs sans sol. Le point de départ se trouve dans la doctrine administrative et la jurisprudence du Conseil d’Etat. I - Le droit Une exonération sous conditions. La doctrine administrative est claire BOI-BNC-SECT-60-10, elle indique que lorsque le propriétaire d’un cheval de course non-éleveur, se borne à confier son cheval à un entraîneur sans exercer aucune diligence en vue de s’aménager une source de revenus, les gains de course qu’il réalise, n’entrent pas dans le champ d’application de l’impôt sur le revenu. La jurisprudence du Conseil d’Etat quant à elle est ancienne 26-3-1953 n°17736. Le propriétaire de chevaux de course qui n’est ni entraîneur ni éleveur, et se borne à assurer l’entretien de ses chevaux de course en les mettant en pension chez un entraîneur auxquels ce dernier fait disputer les épreuves qui leur sont ouvertes, ne peut être regardé comme se livrant à une exploitation ou une occupation lucrative. Ces opérations ne constituent pas davantage une source régulière de profits imposables dans la catégorie des bénéfices non commerciaux en vertu de l’article 92 du CGI. L’enjeu est de taille, en effet, à défaut d’être exonérée, l’activité revêt un caractère lucratif, au sens de l’article 92 du Code Général des Impôts, qui la rend passible de l’impôt sur le revenu dans la catégorie des bénéfices non commerciaux. Par un avis en date du 26 juillet 1977, n°320378, et un arrêt en date du 7 mai 1980, n°18035, le Conseil d’Etat est amené à apporter des précisions et à introduire une nuance décisive La possession de chevaux de course peut revêtir le caractère d’une activité imposable, lorsque le propriétaire prend des initiatives et se livre à des contrôles ». Ainsi, de par son comportement, le propriétaire prend des initiatives qui réduisent l’aléa et rendent son activité imposable. L’aléa est ici un critère déterminant de l’absence d’imposition, car c’est sa présence qui interdit de considérer les gains comme provenant d’une occupation, d’une exploitation lucrative ou d’une source normalement productrice de revenus. L’administration fiscale a confirmé sa doctrine selon laquelle lorsque le propriétaire d’un cheval de course, éleveur sans sol ou non éleveur, se borne à confier son cheval à un entraîneur sans exercer aucune diligence en vue de s’aménager une source de revenus, les gains de course qu’il réalise ainsi que les primes qui lui reviennent du fait de sa qualité de propriétaire ou d’éleveur du cheval n’entrent pas dans le champ d’application de l’impôt sur le revenu et ses pertes ne peuvent faire l’objet d’aucune imputation. Tel est le cas lorsque le propriétaire ne prend aucune initiative en ce qui concerne tant la préparation que l’engagement de son cheval et n’exerce aucun contrôle sur sa carrière [1]. Concrètement, que revêt cette notion d’initiative, de contrôle sur la carrière du cheval ? II - Indices d’une activité imposable au titre des bénéfices non commerciaux. La jurisprudence et l’administration fiscale ont apporté des précisions de manière à faciliter l’appréciation de l’existence ou non de diligences de la part des propriétaires non éleveurs et non entraîneurs ou éleveurs sans sol et du caractère professionnel ou non de leur activité. La Cour Administrative d’Appel de Paris en date du 21 septembre 1992 a jugé que Le fait pour un propriétaire de confier les chevaux de son écurie à des entraîneurs professionnels disposant d’installations et de personnel permettant d’assurer leur préparation et leur entraînement ne peut être regardé comme une exploitation ou une occupation lucrative au sens de l’article 92 du CGI dès lors qu’il ne prend aucune initiative à l’égard des chevaux et ne se livre à aucun contrôle. En conséquence, quels que soient l’importance de l’écurie et le nombre de chevaux, les gains de course qu’il perçoit à raison de cette activité ne sont pas passibles de l’impôt sur le revenu dans la catégorie des bénéfices non commerciaux » [2]. La Cour Administrative d’Appel de Nantes en date du 12 juillet 1994 a jugé que Sont imposables dans la catégorie des bénéfices non commerciaux, en application de l’article 92 du CGI, les bénéfices d’un propriétaire de chevaux de course qui, s’il confie ses chevaux à des entraîneurs professionnels, prend des initiatives et exerce des contrôles sur les décisions d’achat, de vente et d’engagement dans les courses et qui, en outre, est devenu propriétaire, au cours des années en cause, des installations du haras permettant l’entraînement de ses chevaux installations dont il a conservé la disposition effective après leur location à une société civile dont son épouse détenait la quasi-totalité des parts » [3]. Plusieurs indices sont ici relevés, dont notamment le fait que le propriétaire exerçait des contrôles sur les décisions d’achat, de vente, et d’engagement dans les courses. Ce dernier indice l’engagement dans les courses est particulièrement intéressant, en effet, pour inscrire un cheval dans une course, il faut suffisamment connaître, le métier d’entraineur pour pouvoir se substituer à lui. En résumé, le propriétaire intervenait dans les opérations principales de son activité. L’administration fiscale a listé les indices qui permettraient de considérer que le contribuable intervient personnellement et habituellement dans les opérations principales de l’activité exercée, faisant ainsi obstacle à l’exonération des gains. En ce qui concerne l’activité stricto sensu de course Possession des couleurs - choix de confier les chevaux à un entraîneur indépendant sur lequel le propriétaire exerce un pouvoir de contrôle. Gestion de la carrière de ses chevaux - choix, seul ou en accord avec l’entraîneur, de l’engagement des chevaux dans les courses hippiques [4]. Dans le cadre d’une activité d’un propriétaire éleveur sans sol. choix du haras - choix des poulinières à acquérir ; - choix de l’origine des chevaux ; - choix des croisements ; - choix de la fréquence des saillies ; choix des interventions vétérinaires ; décision des opérations d’achats ou de ventes des chevaux ; préparation des ventes et intervention dans leurs négociations [5]. Enfin pour parfaire le tableau, à partir du moment où les contions précitées d’exonération ne sont pas remplies, les gains de course réalisés par le propriétaire non éleveur et non entraîneur ou éleveur sans sol, sont imposables dans la catégorie des bénéfices non commerciaux. Le bénéfice imposable au visa de l’article 93 du Code Général des Impôts est calculé par la différence entre les recettes encaissées et les dépenses réalisées. S’il s’avère que l’activité est déficitaire, la question posée à de nombreuses reprises en jurisprudence, est celle de savoir s’il est possible d’imputer ce déficit catégoriel sur le revenu global. Dans le cadre d’une décision de la Cour Administrative d’Appel de Paris en date du 31 janvier 2003, n°99-3032, le commissaire du gouvernement titrait l’activité d’un propriétaire-éleveur de chevaux de course présente-t-elle un caractère professionnel autorisant l’imputation du déficit sur le revenu global ? La réponse est oui, à condition que l’activité soit exercée à titre habituel et constant et dans un but lucratif. Ces deux conditions devant être remplies simultanément. Nathalie Aflalo 54, rue Taitbout 75009 Paris chez Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 à 5 à cet article L’avez-vous apprécié ? Notes de l'article [1] Inst. 21-5-2002, 5 G-6-02 n° 8 et 9 ; BOI-BA-CHAMP-10-20 n° 70 et 80, 30-4-2014. [2] CAA Paris 2e ch., 21-9-1992 n° 2850. [3] CAA Nantes 2e ch., 12-7-1994 n° 92-488. [4] Inst. 21-5-2002, 5 G-6-02 n° 22 et 23 ; BOI-BNC-SECT-60-10 n° 190 et 200, 4-7-2018. [5] Inst. 21-5-2002, 5 G-6-02 n° 21 ; BOI-BNC-SECT-60-10 n° 180, 4-7-2018.
Pourla deuxième année consécutive, la famille Papot termine en tête de liste des propriétaires français en obstacle. La casaque à losanges vert et bleu termine la saison 2018 avec plus de 3 millions d’euros de gains, 643
Ils s’engagent pour l’avenir du galop français Jacques Cyprès, Agriculteur à Montigny-sur-Canne Nièvre. Éleveur et propriétaire depuis 1980 Issu d’une famille d’éleveurs de bovins et d’AQPS, administrateur du Syndicat AQPS de la Nièvre, et représentant au Conseil d’administration de l’Association AQPS au niveau national. Président-fondateur de la coopérative qui a repris le Haras de Cercy, membre du comité de France Galop et du conseil de l’obstacle. Je mène la liste Alliance Galop dans le collège des éleveurs pour faire entendre la voix de l’obstacle mais aussi l’intérêt général des courses en France. Je souhaite que ma passion de l’élevage et mon expérience au sein de l’institution servent la cause France Galop. Notre modèle d’élevage représente une réelle diversification pour l’agriculture française, et cet atout doit être cultivé. Je souhaite pouvoir réfléchir avec toutes les forces vives du galop français, proposer puis agir dans l’intérêt de toute notre filière. » Nelly de la Guillonnière, éleveur à Soulaire-et-Bourg Maine-et-Loire Éleveur depuis 1981 Haras de la Rousselière, Propriétaire depuis 2005. A créé l’élevage du Haras de la Rousselière avec son mari Pierre en 1981. Son fils Jean travaille à leurs côtés aujourd’hui. 25 ans membre de la société des courses d’Angers, dont dix à la vice-présidence. Co-gérante du Haras du Lion d’Angers en 2013 après avoir beaucoup travaillé à sa reprise. Vice-présidente de l’Association AQPS de l’Ouest, membre du Conseil d’administration des AQPS au niveau national. Je suis candidate avec la liste Alliance Galop, dans le collège des éleveurs, pour assurer à nos successeurs un héritage solide et pérenne. » Jean-Charles Escalé, Fondateur et gérant du Haras de l’Abbaye à Le Vigen Haute-Vienne Éleveur depuis 1995, propriétaire depuis 2014. Cavalier de concours hippique originaire de la région de Toulouse, a développé une structure de préparation de jeunes chevaux de sport qu’il a étendue aux pur-sang anglais et arabe. Passionné par la race de l’anglo-arabe, il s’est installé à Limoges en 1994 et a créé le Haras de l’Abbaye. Il y élève pour de nombreux propriétaires sans sol et y a développé l’étalonnage dans les années 2000. Je m’engage avec Alliance Galop car l’obstacle est aujourd’hui une filière d’excellence. Elle fait vivre des structures de toutes les tailles en générant un véritable réseau professionnel, indispensable pour le galop français. Les leaders d’Alliance Galop ont montré qu’en dehors de leurs intérêts particuliers et avec leurs qualités d’entrepreneurs, ils avaient su créer une dynamique vertueuse, locomotive pour le plus grand nombre. Cette action crée des vocations et motive la relève ». Catherine Boudot, gérante de salon de coiffure à Paray-le-Monial Saône-et-Loire Éleveur depuis 1996, Propriétaire depuis 1998 Co Fondatrice de l’élevage du Seuil. Je suis candidate de la liste alliance galop dans le collège des éleveurs pour que mes enfants et les futurs propriétaires puissent continuer à considérer le système français comme le meilleur du monde. Malgré une conjoncture incertaine, mon enthousiasme et mon énergie sont intacts pour qu’ensemble, nous aidions à orienter une politique des courses et de l’élevage sur le chemin du redressement. » Noël Dubief, responsable du haras Hamel Stud à Bursard Orne Éleveur depuis 2001, Propriétaire depuis 2011 15 ans d’expérience en tant que lad-driver dans la discipline du trot. Je suis candidat de la liste Alliance Galop dans le collège des éleveurs car je me retrouve dans les valeurs qu’elle représente et je souhaite le succès des courses d’obstacle, pour lesquelles je me passionne. » Pierre de Maleissye-Melun, éleveur à Pezé-le-Robert Sarthe Éleveur depuis 1993, Propriétaire depuis 1993 A fait l’école zootechnique de Rambouillet, puis celle du Haras national d’Irlande avant de suivre plusieurs stages dans le pur-sang et le trot aux USA. De retour en France, il s’est installé dans la Sarthe à proximité du Haras de Maulepaire de son oncle Bertrand de Tarragon. Membre du Comité des courses de Sillé-le-Guillaume. A élevé de nombreux gagnants de haut niveau en obstacle, en particulier en Grande-Bretagne, où beaucoup de ses élèves sont exportés. Je suis candidat de la liste Alliance Galop dans le collège des éleveurs car je souhaite qu’un vent nouveau souffle sur nos institutions et que l’on travaille dans l’intérêt général de la filière du galop, sans distinction de discipline. Mon expérience du terrain me permet de constater que les acteurs des courses sont trop souvent mal reconnus, et que les instances sont déconnectées de nos réalités. » Pascale Ménard, éleveur et courtier à Lyon Rhône Eleveur et Propriétaire depuis 1999. Cavalière de concours hippique, elle découvre le monde des courses en faisant un stage chez Mathieu Daguzan-Garros. Elle se perfectionnera ensuite en élevage et entraînement en voyageant en Irlande et au Kentucky avant de revenir sur Chantilly. Après avoir travaillé à Etreham et à la Reboursière, elle monte la première entreprise de juments nourricières et rencontre par ce biais de nombreux éleveurs. Elle devient ensuite propriétaire. Mon engagement sur la liste Alliance Galop vise à mieux faire connaître le fabuleux esprit sportif des courses hippiques, mettre en avant son accessibilité, et à le partager autour d’une équipe dynamique qui veut voir loin. » Michel Contignon, agriculteur à Blainville Meurthe-et-Moselle Éleveur depuis 1984, Propriétaire depuis 1984 Membre du conseil et comité régional de l’est depuis 12 ans, du conseil national des AQPS, du conseil de l’obstacle de 2002 à 2015, commissaire de la société des courses de Vittel, membre fondateur de la SCIC coopérative du Haras Régional de Rosières-aux-Salines. Je suis candidat de la liste Alliance Galop dans le collège des éleveurs pour pouvoir partager cette grande passion de l’élevage des chevaux de courses et s’exprimer d’une seule voix dans la relance des courses en France. » Bruno VAGNE, 55 ans, Informaticien, puis responsable informatique de gestion chez Siemens à l’agence de Clermont Ferrand jusqu’en 1999. Eleveur à Souvigny Allier Eleveur depuis 1999, Propriétaire depuis 2005, Commissaire de courses à Moulins 2006 et Vichy 2000 . Impliqué dans les associations d’éleveurs départementales, régionales ou nationales dès 2001. Membre du conseil d’administration des sociétés de courses de Vichy et de Moulins, Vice-Président CER France Terre d’Allier depuis 2016. Je m’engage sur la liste Alliance Galop pour aider à faire souffler un vent nouveau sur le monde des courses et pousser à sa modernisation. Je travaillerais à favoriser l’arrivée de nouvelles générations de passionnés dans les courses en rendant cet environnement plus accessible. Ce sont eux qui seront les éleveurs, les entraineurs, les propriétaires et les dirigeants de demain . » Kerstin Drevet, agricultrice, domiciliée à DRAGUIGNAN Var, Éleveuse de chevaux de sport depuis 1989 et de chevaux de course depuis 1994 L’élevage de Kerser, situé à BAZAS Gironde, produit des chevaux d’obstacle pour tous les terrains, ceux des plus beaux concours complets du Monde comme ceux des meilleurs hippodromes d’obstacle. Je suis candidate de la liste Alliance Galop dans le collège des éleveurs car après avoir découvert la Coopérative de Cercy-la-Tour, je souhaite aller plus loin dans la défense de l’intérêt de l’élevage de chevaux de course avec une équipe très engagée et dynamique. » André Pommerai, Exploitant agricole retraité à Mée Mayenne Éleveur depuis 1982, propriétaire depuis 2004 Le statut des éleveurs doit être défendu dans toutes les disciplines, et il faut également agir pour redévelopper le propriétariat en régions. C’est à ce titre que je me suis engagé auprès d’Alliance Galop. » Jean-Luc Couétil, éleveur à Plomb Manche Éleveur depuis 1980, Propriétaire depuis 1993 Issu d’une famille d’éleveurs de chevaux de courses et de CSO, Jean-Luc a créé un élevage AQPS à grand succès sous l’entrainement de son frère Alain, dont il gère également les Haras du Brem accueille également des juments en pension. Grand habitué des podiums du Show AQPS du Lion ! Je suis candidat avec la liste Alliance Galop dans le collège des éleveurs pour défendre notre métier d’éleveurs et le pérenniser pour les nouvelles générations. Je souhaite également participer aux réflexions qui mèneront à redynamiser les hippodromes. » This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Cookie settingsACCEPT
Enplat et haies 2010 arreté au 07/11 Mlle B.Renk : 22 Chevaux = 5 Victoires , 8 Places entr et prop en 71 Courses Mme I.Pacault : 31 Chevaux = 13 Victoires , 35 Places entr et prop en 123 Courses L.Viel : 43 Chevaux = 29 Victoires , 47 Places entr et
Parallèlement l'écurie de propriétaires met à votre disposition: une dizaine de boxes, un rond de longe, une carrière, trois hectares de paddocks et un accès direct à de nombreux extérieurs dont le lac du Gabas. Cécile LEFEUVE, BEES 1 propose des cours tous niveaux, du coaching en concours CSO et CCE poneys et chevaux. L'enseignement
LAssociation Française des Courtiers en Chevaux de Galop (AFC) est une association Loi 1901, elle a été fondée le 29 Mai 1978. Elle a pour objet de : • de prendre toutes dispositions jugées utiles pour soutenir et défendre les intérêts des professions de commerçants en chevaux de galop, notamment auprès des Sociétés de Courses
JeanClaude Seroul, l’indécrottable réaliste. Après sa première victoire de Gr1, Jean-Claude Seroul est tête de liste des propriétaires en France. Quelques jours après le succès de Skalleti (Kendargent) dans le Prix d’Ispahan (Gr1), il a répondu à nos questions. Lorsqu’on lui demande si c’est sa première place au classement
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